Bô z'arts

Ceci est une petite aide pratique pour expliquer le calcul du montant que vous aurez à payer en fonction de votre fortune et du ou des achats que vous souhaitez satisfaire ici (voir les clauses d'achat).

Avant d'acheter, veuillez établir un contact ici et ensuite un plan d’accès détaillé vous donnera le meilleur chemin à suivre de jour comme de nuit pour vous aider à venir sur place et choisir votre futur…

En premier lieu, il convient de lui fournir votre dernier avis d’imposition de l’administration qui gère vos impôts dans votre pays ou si c’est compliqué, la dernière analyse de votre classement chez Forbes ^[1]

Petite précision : nous ne vous vendrons rien si vous êtes un magnat de la drogue, un dictateur reconnu, un mafieux ayant pignon sur rue ou un sale type (il faut bien avouer que faire la distinction est parfois difficile…).

Maintenant le calcul, il est relativement simple à comprendre :

• Si l’homme fortuné est aimable et très respectueux de la pauvreté de l’auteur, il pourra susciter un sentiment favorable.

• Au moment du salut, avoir les mains moites n’est pas forcément bon signe (quoique ?).

• Arriver avec ses gardes du corps ne sera pas du tout apprécié.

• Un ton mielleux ferait tache, soyez donc franc !

• Acceptez de boire un café, même si vous n’aimez pas cela, dites-le vraiment, ne tournez pas autour du pot.
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Évidement si vous arrivez avec une machine à café de la maison Jura, le modèle « IMPRESSA J9.3 One Touch TFT carbone » par exemple, il pourrait pensé que vous chercheriez à l’acheter, ce qui ne manquera pas de le perturber, surtout si vous avez prévu d’amener avec, des paquets de Blue mountain de la Jamaïque, de Bourbon pointu, ou pire, l’impressionner avec du Kopi luwak chier par une civette. Ce ne sera pas considéré comme une faute de goût, au contraire, mais n’en faites pas trop tout de même.
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À un certain moment, le varié mettra deux doigts dans ses narines et regardera en l’air pour insuffler la tendance boursière qui vous émoi (uniquement si vous opérez en Bourse). Il aura au préalable vu votre avis d’imposition et un montant évident que son cerveau aura calculé juste au poil, sortira de sa bouche : ce sera le bon prix !

• Négocier ne suscitera que de l’énervement et des montées d’humeur vont le submerger et augmenteraient la valeur initiale vers des sommets presque inexprimables (on se souvient encore de ce qui arriva à Warren B.).
• Pour votre salut, topé là ! sinon refusez et partez.

Voilà, vous savez tout.
Au plaisir de vous voir.