- route -

230616-201815 - Durée : 0’15

Dit pour ne pas oublier :
« de l’envers de l’endroit, d’on ne sait trop z’où, écartons-nous un peu pour voir ailleurs, si j’y suis… Ah ah ah ! »

230616-202014 - Durée : 0’09

De l’envers de l’endroit, d’on ne sait plus trop z'où, d’on ne sait trop pourquoi, où allons-nous ?

- forêt -

230616-203039 - Durée : 0’38

De l’envers de l’endroit, dont on ne sait plus trop quoi, où ce que l’on aurait dit… on a oublié, vu d’ici…
(chant de l’oiseau d’ici)
L’oiseau raconte l’histoire du lieu ; on a oublié…

230616-203147 - Durée : 43’18

Extraits début et fin :

Qu’a-t-on oublié ? on ne sait pas plus quel est l’ennui, quelle est la vie (l’envie), pourquoi l’on existe ici ? Interrogations du bout des temps ; nulle autre envie de débroussailler tout le temps, on avance d’un pas, puis d’un autre, on change, on s’écarte, à nos origines, nous nous connaissions tous ; à force de se débattre, de se détendre, de s’écarter, se dupliquer, le plus lointain d’entre nous ignore même notre existence, il est différent de nous !
[…]
Oui, l’expérience qui est faite de nous va échouer si nous n’y prenons garde ! Voilà…
Voilà, tu retrouves le chemin… ah oui… j’ai fait une avancée de travers, à la moindre sueur le moucheron est attiré, j’émets des odeurs que lui seul ressent, il est habitué, c’est son rôle de sucer…
Voilà, j’ai bien sué, comme d’habitude, déblatérer des choses plus ou moins versatiles ; que peut-on dire de plus, que peut-on dire de moins ? Oh, on n’en sait trop rien, on s’occupe l’esprit, c’est à peu près ce à quoi sert (servent) ces mémorisations…

Transcription brute de la voix (texte non corrigé) : 230616-201815.rtf