Au hasard d’une route campagnarde sirupeuse, dans un champ aride du désert Toundrique de la vallée noire du Kalahamack, des pierres assemblées par des nains festifs, qui les soirs s’étiole sous la magnifique Bételgeuse, vaste astre des nuits claires que les Kalahamackais vénèrent avec beaucoup de dévotion ces pierres du « hazard » !
D’où ces constructions hâtives, car ils n’ont pas que ça à faire tout de même. Les nuitées étant relativement glaciales à cause du vent belliqueux qui rudoie les sols en permanence. Terre des hauts plateaux où l’on n’y sert aucun fromage, car l’animal laiteux y est bien trop torturé. Seuls, ces hommes de courage osent à peine y vivre et bouger les quelques pierres que l’auteur nous montre ici, reste en fait, une de leurs occupations traditionnelles. Admirons leur ténacité !
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Levée du secret…
où parfois l’on invente un mythe à travers des falsifications :